Paroisse Saint-Léon
  • Accueil
  • La vie paroissiale >
    • Le pasteur
    • Conseils et comités
    • Calendrier
  • Index >
    • Réflexions
    • Activités paroissiales
  • Visite de l'église
  • Liens >
    • Site du Vatican
    • CECC
    • AECQ
    • Développement et paix
    • Diocèse de Montréal
    • Interbible
    • Port Saint-Nicolas
    • Croire
    • Portail de la liturgie catholique
    • Librairie Paulines
    • Office de catéchèse du Québec
    • Service catéchétique viatorien
    • Caté Ouest


Paroisse Saint-Léon de Westmount
4311 boul De Maisonneuve Ouest
Westmount (QC)  H3Z 1L1

Téléphone : 514-935-4950
Télécopie : 514-935-8997
Courriel : pec@bellnet.ca

Page Facebook

Équipe pastorale
• Curé : Yves Guillemette
• Prêtre collaborateur : Jean-Chrysostome Zoloshi

Secrétariat
• Secrétaire : Lucie Grégoire
• Horaire du bureau :
    Lundi : 9 h. à midi; 14 h. à 16 h.
    Mardi, mercredi, jeudi : 14 h. à 16 h.

Horaire des célébrations eucharistiques
• Semaine :
    Mercredi et jeudi : 17h15 
• Fin de semaine :
    Samedi : 17 h.
    Dimanche : 10h30 

Inscription aux parcours de catéchèse
• Courriel : catsaintleon@gmail.com
• Coordonnatrice : Niquette Delage

Soutien aux activités 
• Uditha Liyanage, concierge
• Pierre Paré
 

Inscription à l'infolettre
Inscription à l'infolettre
Votre courriel:
 



26 février 2016

Le sacrement du pardon

Quel que soit le nom qu’on lui donne : sacrement du pardon, de la réconciliation, de la pénitence, un très grande nombre de baptisés ont déserté ce sacrement. Sans entrer dans une analyse exhaustive, on peut dire que le sacrement du pardon a souffert de notre rapport aux sacrements, que ce soit celui des prêtres comme de celui des baptisés. On administrait les sacrements au lieu de les vivre comme une célébration du Christ ressuscité et de son action salvifique dans notre vie, au quotidien (eucharistie, pardon) comme aux moments clés de la vie (baptême, confirmation, mariage, ordination, onction des malades).

Je vous propose quelques propos du pape François sur le sacrement du pardon. L’avis aux confesseurs vous aidera à porter un autre regard sur le sens de la démarche pénitentielle.

Quelques propos du pape François sur le sacrement du pardon

À la question d’Andrea Tornielli : « Pourquoi est-il important de se confesser? Mais ne suffirait-il pas, au fond de demander pardon face à soi-même, de se débrouiller tout seul avec Dieu? » le pape répond :

« C’est Jésus qui dit à ses apôtres : ‘Ceux à qui vous pardonnerez leurs péchés seront pardonnés; ceux à qui vous ne les pardonnerez pas ne seront pas pardonnés’ (Jn 20, 19-23). Les apôtres et leurs successeurs deviennent des instruments de la miséricorde divine. Ils agissent in persona Christi, c’est très beau. Se confesser devant un prêtre est une façon de remettre sa vie entre les mains et le cœur d’un autre, qui, à cet instant, agit au nom et pour le compte de Jésus. C’est une façon d’être concret et authentique : se mettre face à la réalité en regardant une autre personne, et non soi-même reflété dans un miroir. » (tiré de Le nom de Dieu est miséricorde)

Avis aux confesseurs

« Je ne me lasserai jamais d’insister pour que les confesseurs soient un véritable signe de la miséricorde du Père. On ne s’improvise pas confesseur. On le devient en se faisant d’abord pénitent en quête de pardon. N’oublions jamais qu’être confesseur, c’est participer à la mission de Jésus d’être signe concret de la continuité d’un amour divin qui pardonne et qui sauve. Chacun de nous a reçu le don de l’Esprit Saint pour le pardon des péchés, nous en sommes responsables. Nul d’entre nous n’est maître du sacrement, mais un serviteur fidèle du pardon de Dieu. Chaque confesseur doit accueillir les fidèles comme le père de la parabole du fils prodigue : un père qui court à la rencontre du fils bien qu’il ait dissipé tous ses biens. Les confesseurs sont appelés à serrer sur eux ce fils repentant qui revient à la maison, et à exprimer la joie de l’avoir retrouvé. Ils ne poseront pas de questions impertinentes, mais comme le père de la parabole, ils interrompront le discours préparé par le fils prodigue, parce qu’ils sauront accueillir dans le cœur du pénitent l’appel à l’aide et la demande de pardon. En résumé, les confesseurs sont appelés, toujours, partout et en toutes situations, à être le signe du primat de la miséricorde. » (tiré de Le visage de la miséricorde, no. 17)